mercredi 24 février 2016

Là où tombent les anges par Charlotte Bousquet

mercredi 24 février 2016
Résumé : Solange, dix-sept ans, court les bals parisiens en compagnie de Clémence et Lili. Naïve, la tête pleine de rêves, elle se laisse séduire par Robert Maximilien et accepte de l’épouser. Mais son prince est un tyran jaloux, qui ne la sort que pour l’exhiber lors de dîners mondains. Coincée entre Robert et Emma, sa vieille tante aigrie, Solange étouffe à petit feu. Quand la Première Guerre mondiale éclate, Robert est envoyé sur le front. C’est l’occasion pour Solange de s’affranchir de la domination de son mari et de commencer enfin à vivre, dans une ville où les femmes s’organisent peu à peu sans les hommes…


Titre : Là où tombent les anges

Auteur : Charlotte Bousquet

Édition : Gulf Stream Editeur


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Aujourd'hui, je vais vous parler d'un livre que j'ai lu d'une seule traite : Là où tombent les anges par Charlotte Bousquet.

Là où tombent les anges raconte l'histoire de plusieurs femmes durant la première guerre mondiale. Il est d'abord question de Solange, qui rêve de liberté, mais aussi de sécurité après avoir quitté la campagne et son père. Puis sa meilleure amie Lili apparaît, fantasque, véritable tourbillon qui ne veut que le bien de Solange. A ces deux amies, Clémence viendra s'ajouter, plus douce, plus calme que ses consœurs. D'autres portraits de femmes seront dressées au travers d'une narration classique, qui prendra aussi la forme de la lettre ou du journal intime.

Quand j'ai ouvert ce livre, je n'ai pas réussi à le lâcher. Je voulais savoir si Solange réussirait à s'épanouir, à abandonner l'idée de chercher la sécurité pour prendre sa liberté et s'échapper de l'emprise d'un mari trop violent pour son bien. J'ai été touchée par Clémence, qui croise l'amour, mais qui se retrouve à se battre pour survivre quand la guerre arrive et envoie son promis sur le front. J'ai aimé l'amitié entre Solange et Lili, tantôt calme, tantôt mouvementée. Elle est mise à rude épreuve à plusieurs reprises, se brisent même par moment, mais elle n'en demeure pas moins forte. Et puis il y a la tante Emma, celle dont Solange doit s'occuper, celle qui apparaît comme un poids, mais qui est tellement plus que cela. Grâce à elle, Solange va évoluer pour prendre de l'assurance…

J'ai aimé suivre ces femmes dans leur quotidien. Quand vient la guerre, chacune a sa façon de réagir. Certaines ne manquent pas de courage, d'autres cherchent encore leur place afin de trouver une façon d'aider et de soutenir. J'ai été touchée par ce livre, par la manière dont Charlotte Bousquet raconte ses femmes avec beaucoup de justesse. Je me suis attachée à chacune d'entre elles, ayant tour à tour envie de les consoler ou de les secouer quand elles avaient le malheur de faire de mauvais choix. Là où tombent les anges est peut-être un livre classé dans littérature jeunesse (et je suis contente de voir qu'un tel ouvrage se trouve dans les rayons jeunesse), il a aussi sa place dans les bibliothèques des adultes car il permet de voir la guerre sous un autre angle, celui des femmes. Alors si vous le croisez, n'hésitez pas à jeter un œil dessus ou à l'offrir afin de permettre à d'autres de connaître le destin de Solange, Lili, Clémence et les autres.

Verdict ♥ ♥ ♥ ♥ ♥ 

Indispensable !


Ce livre rentre dans le challenge :


samedi 20 février 2016

Lecture Commune - La Passe-Miroir, tome 1 : Les fiancés de l'hiver par Christelle Dabos

samedi 20 février 2016
Résumé : Sous son écharpe élimée et ses lunettes de myope, Ophélie cache des dons singuliers : elle peut lire le passé des objets et traverser les miroirs. Elle vit paisiblement sur l'Arche d'Anima quand on la fiance à Thorn, du puissant clan des Dragons. La jeune fille doit quitter sa famille et le suivre à la Citacielle, capitale flottante du Pôle. À quelle fin a-t-elle été choisie ? Pourquoi doit-elle dissimuler sa véritable identité ? Sans le savoir, Ophélie devient le jouet d'un complot mortel.



Titre : La Passe-Miroir, tome 1 : Les fiancés de l'hiver


Auteur : Christelle Dabos

Édition : Gallimard Jeunesse




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Aujourd’hui, je vais vous parler de ma dernière lecture commune. Cette fois-ci, j’ai délaissé ma coéquipière Evy, pour me tourner vers Audrey, dont les chroniques sont à lire sur le coin d’Audrey, mais aussi sur Songe d’une nuit d’été. (Oui, j’ai opté pour quelqu’un qui lit plus vite que son ombre et qui est adorable au passage !) Pour cette première expérience ensemble, notre choix s’est porté sur les Fiancés d’Hiver, premier tome de la Passe-Miroir.

Ai-je aimé la Passe-Miroir ? Oui, mais je dirai que le mot faible. Pour moi, la Passe-Miroir c’est un voyage dépaysant, qui permet de rencontrer des personnages atypiques dans un univers atypique. Je crois qu’il serait faux de dire que l’auteur manque d’imagination. Elle en a à revendre et tisse un monde où il est possible de passer au travers des miroirs ou d’avoir l’illusion que notre taudis est un palace. Si vous voulez découvrir une mythologie teintée d’originalité, c’est dans ce livre que vous la trouverez.

Un autre point est à relever dans la Passe-Miroir, et c’est Ophélie. Avec elle, l’auteur crée un personnage féminin, qui n’est pas un canon de beauté, qui semble faible et qui est pourtant un vrai modèle de courage et d’obstination. Oh bien sûr, il lui arrive parfois de faire preuve d’une trop grande curiosité, mais il serait dommage qu’elle ne s’attire pas quelques ennuis. En plus, elle ne tombe pas si facilement amoureuse de son fiancé, qui n’est pas un modèle de prince charmant, mais a un charme qui lui est propre. Ophélie est pour moi une héroïne capable d’être un bon exemple à suivre et qui n’est pas infaillible. Malgré son côté effacé, elle survit à un univers hostile tout en parvenant même à faire chavirer un cœur de glace au passage. Ophélie, moi je l’aime d’amour.

À ses côtés, on trouve une jolie galerie de personnages. Certains vont se révéler des alliés, d’autres des ennemis, à moins que ce ne soit eux les alliés ? En tout cas, ils ont tous un petit quelque chose, une personnalité qui leur est propre et qui nous permet de ne pas les oublier. J’ai senti un vrai travail de l’auteur, qui était aussi minutieux que celui qu’elle a accordé à sa mythologie. Quant à l’intrigue, elle se suit avec plaisir nous poussant à avancer dans l’histoire avec l’espoir de réussir à percer les secrets que l’on masque à Ophélie. Que se cache-t-il derrière ce mariage qu’elle ne peut refuser ? Que risque-t-elle de perdre ? Et lorsque vient la fin, un seul désir anime, l’envie de lire la suite au plus vite !

En conclusion, la Passe-Miroir est une petite pépite à mettre entre les mains des jeunes, mais aussi des moins jeunes. C’est un véritable coup de cœur que je recommande à tout le monde et surtout à ceux qui ont besoin de se réconcilier avec l’univers de la littérature jeunesse ou de la fantasy ! 



Verdict ♥ ♥ ♥ ♥ ♥ ♥



Indispensable !




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jeudi 18 février 2016

La Santé par les Plantes par Francis Mizio

jeudi 18 février 2016
Résumé :
“Si je puis me permettre un slogan : lâchez-vous ! Lâchez tout !”

Directeur d’un grand groupe pharmaceutique, Gatsby Legrand est aussi l’un des plus grands constipés du monde, cherchant désespérément un remède pour se soulager, lui et ses millions de compagnons de souffrance. De sa rencontre avec Wjatscheslaw-Zénodore Douglas, biochimiste indien et escroc notoire, naît une folle équipée pour trouver la molécule miracle issue de la rarissime plante, l’Allocasuarina portuensis. Une aventure déjantée dans laquelle le célèbre perroquet vert à deux crêtes et touffes rouges sous les ailes pourrait bien avoir un rôle crucial à jouer.



Titre La Santé par les plantes

Auteur : Francis Mizio
Édition : ActuSf, collection Hélios noir




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Aujourd’hui, je vais vous parler du livre que j’ai reçu lors de la dernière Masse Critique : La Santé par les plantes par Francis Mizio.

Si vous ne voulez pas vous prendre la tête, mais plongez dans un univers délirant, sachez que ce livre est fait pour vous. Si vous êtes du genre insensible à l’humour, autant passer directement votre chemin, car vous risqueriez de ne pas aimer cette histoire basée sur un problème de constipation. Oui, je sais, la constipation n’est pas un sujet glamour, mais ici elle va donner lieu à une quête rocambolesque où les protagonistes vont chercher à trouver une plante qui ne paie pas de mine. Ils n’ont pas tous les mêmes motivations. Chacun agit dans son propre intérêt, s’efforce de se servir des autres pour y parvenir et se retrouve à vivre des moments riches en émotions. Tout ne se passe pas comme prévu, sinon ce ne serait pas drôle ! Je dois d’ailleurs avouer que j’ai un petit coup de cœur pour les personnages de Narcisse et Flore ainsi que pour Oliver Castani. Sa vie d’ornithologue n’est pas de tout repos. (Et j’aime le fait que ses aventures finissent par croiser l’intrigue principale.)

Si on adhère au délire, l’histoire se lit vraiment vite. Les pages se tournent toutes seules grâce à des rebondissements multiples et variés qui pourrissent gentiment l’existence aux personnages. En même temps, il aurait été dommage que leur vie soit un long fleuve tranquille… Et à la fin, on se rend compte qu’il s’est passé énormément de choses alors qu’au départ il n’était question que d’aider un homme à ne plus être constipé ! Comme quoi il suffit parfois d’un rien pour vivre une aventure totalement délirante. Donc si l’envie de vous amuser vous saisit, que vous êtes sensibles aux livres dotés d’un certain sens de l’humour, jetez donc un regard à la Santé par les Plantes !


Verdict ♥ ♥ ♥


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mercredi 17 février 2016

Par le Sang, épisode 5 : Lunes de Sang par Florence Cochet

mercredi 17 février 2016
Résumé
Shandra, Shyle, Kalhen et Dragann parviennent enfin au temple de Bhelan, où le jeune prince Dominick est retenu prisonnier. Mais, lorsqu’ils y pénètrent, les lieux semblent désertés. Quelqu’un a trahi leur arrivée, permettant à leurs ennemis de s’enfuir.

Pour espérer les rattraper, Shandra et ses compagnons doivent d’abord triompher des nombreux pièges et sortilèges que recèle l’endroit sacré. En sortiront-ils tous vivants ?



Titre : Par le Sang, épisode 5 : Lunes de Sang

Auteur : Florence Cochet
Édition : Editions Láska



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Aujourd'hui, je vais vous parler de Lunes de Sang, le cinquième et dernier (déjà !) épisode de Par le Sang écrit par Florence Cochet. Je tiens d'ailleurs à remercier les éditions Laska pour ce service presse.

Avec ce cinquième épisode, l’heure est venue de dire au revoir à Par le Sang. (je veux pas...) Je dois dire que je serais restée un peu plus longtemps, car je me suis prise d’amour pour Shandra, Shyle et leurs compagnons de route. Je n’ai peut-être pas été surprise par certains rebondissements dont je ne peux pas parler sans spoiler, mais d’autres révélations ont réussi à le faire (surtout une), mais surtout…

*Suspense*

Je me suis retrouvée à arrêter de lire à un moment donné à cause d’un événement lié à Kalhen. Oui, je me suis arrêté tellement j'étais à fond dans l'histoire, en colère après l'auteur. Je lui en ai beaucoup voulu à cet instant précis. Je n'acceptais pas cet incident, et pourtant il a bien fallu rallumer la liseuse pour connaître la suite. J’ai donc pris mon courage à deux mains et j’ai dévoré le reste de l'histoire. Je m’en moquais de trouver certains éléments faciles parce qu’au fond tout ce qui comptait, c’était de savoir s’ils allaient tous s’en tirer. Je voulais qu’ils s’en sortent, qu’ils vivent heureux… même Kalhen. Oui, j’ai fini par l’aimer le bougre. Ce fut dur, mais j’y suis arrivé.(mais chut, c'est un secret !)

Je tiens donc à remercier Florence Cochet pour ce voyage. D’ailleurs j’ai décidé d’aller la découvrir dans une autre de ses œuvres dont je vous parlerai prochainement. En attendant, je vous conseille Par le sang pour un voyage riche en émotions et des personnages attachants !



Verdict ♥ ♥ ♥ ♥ 



mercredi 10 février 2016

L'Ordre Terne : La Prophétie des Sables par I.M. Nancy

mercredi 10 février 2016
Résumé : Berendor Cairn est un Da¨mon, un sorcier de l'ancien temps, un survivant de l'époque où la magie et les hommes coexistaient en paix. Mais c'est surtout par sa faute qu'est arrivé le Grand Ravage, un désastre dont les habitants du Monde Connu payent encore le prix. Rongé par la culpabilité, le vieillard cherche à se racheter en éliminant, l'un après l'autre, les envoyés des Lunes. Pour la énième fois de sa longue vie, il se met en quête du Mok'zir. Mais cette fois-ci, il semble bien que la tâche soit plus ardue que prévue. Peut-être même impossible à accomplir. Ce premier volet de la saga de l'Ordre Terne ouvre les portes d'un monde dans lequel une magie agonisante brouille les cartes du destin pour le pire et... pour bien pire encore... Berendor Cairn le sorcier parviendra t-il à déjouer la vengeance des Lunes avant que la mort ne le rattrape ? Qui est Bethsahire, cette enfant aux yeux jaunes qui porte en elle les réponses de la prophétie ? L'envoyé est-il prêt à se sacrifier pour sauver l'humanité ? Et surtout, quel est le secret de cet Ordre Terne que tous craignent mais que nul ne connaît ? Voilà une épopée passionnante dans laquelle cinq royaumes vont affronter le plus grand péril auquel on puisse être confronté : la fin de tout espoir.

Titre : La Prophétie des Sables
Auteur : I.M. Nancy
Édition : Auto-Edité



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Aujourd'hui, je vous propose de parler du premier tome de la Prophétie des Sable, premier tome de l'Ordre Terne écrit par I.M. Nancy. Ma collègue Evy me l'a gentiment confié après que l'auteur nous l'ait proposé.

Autant le dire de suite, mon aventure n’a pas été aussi palpitante que je l’avais espéré. Pourtant, les ingrédients étaient presque tout là pour passer un bon moment. D’un, l’univers semblait intéressant avec de bonnes idées comme le tissage. De deux, les personnages avaient l’air prometteur comme celui du sorcier des premières pages. De trois, l’auteur écrit bien, ce qui n’est pas toujours le cas dans l’auto-édition.

Hélas, ces trois bons points souffrent du défaut majeur de cet ouvrage : l’intrigue. J’ai eu l’impression qu’il ne se passait rien dans ce premier tome. J’ai la sensation que ce livre un n’est qu’une introduction, qu’un prologue et qu’il manque clairement d’enjeu pour être vraiment palpitant. Je me suis ennuyée par moment, devant redoubler d’efforts pour rester concentrée et espérer qu’enfin les choses bougent… Sauf qu’il faut attendre la fin. 

Résultat, ce fut un rendez-vous manqué pour moi. Ce livre est introduction ennuyeuse où l’ennui domine malgré de belles promesses au niveau de l’univers et des personnages. Dommage !


 Verdict ♥ ♥

dimanche 7 février 2016

Celui dont le nom n'est plus par René Manzor

dimanche 7 février 2016
Résumé : « Puissent ces sacrifices apaiser l’âme de Celui dont le nom n’est plus. »
Pour la deuxième fois en deux jours, ce message énigmatique signe une scène de crime londonienne. Rien ne relie les victimes – pas même leurs assassins, qui ne se connaissent pas, et qui ont chacun, lors de leur arrestation, avoué avoir tué la personne qu’ils aimaient le plus au monde. Pourtant les faits sont là : le rituel religieux, le message, le cadavre vidé de ses organes- ces meurtres sont commis selon le même mode opératoire.
Le commissaire McKenna, vieux routier de Scotland Yard, et le docteur Dahlia Rhymes, criminologue américaine, pressentent que la série n’en est qu’à ses débuts.
A moins de mettre, au plus vite, un nom sur l’horreur…





Titre : Celui dont le nom n'est plus
Auteur : René Manzor

Édition :Pocket
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René Manzor, réalisateur et scénariste à la base, écrivain à ses heures, signe avec ce roman intitulé « Celui dont le nom n’est plus » un thriller parfait, sensationnel, dont je ne suis pas prête d’oublier le nom !

Tout d’abord, j’ai trouvé l’intrigue proposée par l’auteur plus qu’originale et tout à fait passionnante. 
En effet, Londres est secouée par une série de meurtres atroces.  La scène de crime est à chaque fois la même : un cadavre dépouillé de ses organes, une mise en scène suivant le rite funéraire de la religion pratiquée par la victime et cette étrange signature en lettres de sang « Puissent ces sacrifices apaiser l’âme de Celui dont le nom n’est plus. » 
Les assassins, n’ayant de prime abord rien en commun et ne se connaissant pas, présentent cependant un comportement similaire : ils ne nient aucunement avoir perpétré le meurtre de la personne qu’ils chérissaient le plus au monde mais ne parviennent pas à se rappeler l’avoir commis.
Et que deviennent les organes prélevés ? Dans quel but le sont-ils ? 
C’est face à une véritable épidémie d’homicides que doit faire face le Détective Chief Inspecteur McKenna, vieux roublard de Scotland Yard et la jeune criminologue américaine Dahlia Rhymes.

René Manzor ne ménage pas ses personnages à qui la vie n’a pas fait de cadeaux ! 
McKenna, sous ses apparences bourrues et ses fréquentes crises de colère, se voue corps et âme à son travail pour tenter d’échapper à un épouvantable drame personnel l’ayant marqué à jamais au fer rouge. 
Dahlia quant à elle, s’est forgée une carapace totalement hermétique au moindre sentiment affectif, douloureux héritage d’une enfance humiliante et traumatisante. Son périple londonien mettra cependant ses certitudes à rude épreuve. Est-elle prête à aimer à nouveau ? 
Et tous ces meurtriers qui s’apparentent plus à des victimes qu’à de sanguinaires assassins ? Comment vivre avec le fardeau de la mort d’un être proche que l’on a tué de ses propres mains ? Sont-ils coupables ou de simples pantins à la merci d’un psychopathe agissant dans l’ombre ? 

Entre compassion, impuissance, tristesse, horreur et malaise, l’auteur ne ménage pas non plus ses lecteurs qu’il entraine à toute allure aux fil des pages qui défilent à une vitesse affolante tant il est primordial, sinon vital, de connaître la suite de cette enquête aux frontières de la conscience et de la volonté humaine.

« Celui dont le nom n’est plus » est un thriller captivant, noir à souhait, et un véritable coup de cœur ! 

Encore un Chapitre © 2014