Auteur : Bonnie Vanak
Édition : Harlequin - Collection Nocturne
Note : 3.5/5
Description :
Nous nous reverrons, belle Mara. Tu te donneras à moi et je te délivrerai du Mal.
En se réveillant ce matin-là, Mara sent sa raison vaciller. Jamais encore, elle n'a imaginé une scène d'amour aussi torride et aussi réaliste. Qui est donc cet homme qui a osé s'infiltrer dans ses rêves ? Et de quel droit prétend-il la libérer du démon qui gronde en elle et qu'elle sait si bien apprivoiser ? Mais tandis que Mara frissonne au souvenir des baisers de l'inconnu, une image s'impose brusquement à son esprit : un regard d'encre qui capte le sien, et deux canines brillantes que laissent entrevoir des lèvres charnues...
***
Une grosse nouvelle entre deux pavés, ça ne fait pas de mal !
Si je me suis laissée séduire par La proie du vampire, c'est à cause de sa couverture : l'image est la même que celle du spin-off de Chasseuse de la nuit. Je vous montre :
C'est ce qui a donc attisé ma curiosité - ainsi que son petit prix.
Du vampire, oui, mais pas que...
La couverture donne une bonne idée du type de créatures que nous allons trouvé mais j'ai été très surprise par la nature de Mara. Et je peux vous dire que c'est une belle surprise !
Mara est une jeune femme dont la vie n'a pas toujours été simple, surtout à cause de ses origines. Elle va faire la rencontre de Lucien qui est chargé de la protéger... d'elle-même.
Je ne peux pas trop en dire sans spoiler et vous ôter les points que j'ai aimé dans cette histoire. Donc... si vous voulez en savoir plus, il faudra le lire !
De part la collection et l'éditeur, nous sommes dans de la romance explicite et sensuelle. Dès les premières lignes, la trame de l'histoire ne laisse aucun surprise. Mais on se prend au jeu, juste pour le plaisir de lire l'évolution de la relation entre les personnages. Les scènes de sexe sont plutôt agréables à lire et ne sont pas trop envahissantes malgré la taille de la nouvelle.
Rien de neuf sous le soleil en somme, mais une petite lecture d'entre deux qui est agréable.
Cette nouvelle - assez longue : 80 pages sur la liseuse - se dévore. Je regrette juste cette trame un peu simple et des petites scènes déjà vues.