Aujourd’hui,
j’ai envie de râler…
Sur
la fin. Celle des livres.
Conclure
une histoire est un exercice difficile pour l’auteur. Je le conçois
parfaitement. Néanmoins, en tant que lectrice, je ne peux m’empêcher
de grincer les dents face à la chute de certains romans. Il m’arrive
aussi d’avoir l’impression de m’être légèrement fait
arnaquer par l’auteur.
Je
pense à toutes ces histoires où le voyage n’a servi à rien… ou
pire à ces intrigues qui vous informent que la chute n’était
qu’un rêve.
(Pardon, c'était trop tentant)
Juste un rêve. Rien n’est arrivé. Rien. Au mieux,
ce n’était qu’un avertissement.
Alors
ça peut passer quand l’auteur laisse des indices au fil de
l’intrigue. Ou qu’il laisse un léger doute subsister à la toute
fin de l’ouvrage.
Mais
quand il n’y a rien, pas le moindre sous-entendu, j’ai juste
l’impression d’avoir été menée en bateau. Du coup, je me mets
à râler toute seule dans mon coin et à maudire l’auteur sur dix
générations au minimum.
Après
je me calme, je pardonne, mais sur le coup est la pilule amère.
D’ailleurs, je dois encore la digérer…
Enfin
au moins l’histoire a une fin, ce qui n’est pas toujours le cas.
Non je ne pense pas à Serge Brussolo… Quoique... *va pleurer la fin d'une histoire qu'elle n'aura jamais.*
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