Pour la deuxième fois en deux jours, ce message énigmatique signe une scène de crime londonienne. Rien ne relie les victimes – pas même leurs assassins, qui ne se connaissent pas, et qui ont chacun, lors de leur arrestation, avoué avoir tué la personne qu’ils aimaient le plus au monde. Pourtant les faits sont là : le rituel religieux, le message, le cadavre vidé de ses organes- ces meurtres sont commis selon le même mode opératoire.
Le commissaire McKenna, vieux routier de Scotland Yard, et le docteur Dahlia Rhymes, criminologue américaine, pressentent que la série n’en est qu’à ses débuts.
A moins de mettre, au plus vite, un nom sur l’horreur…
Titre : Le Chant de l'Oiseau de Nuit tome 1 : Le Procès de la Sorcière
Auteur : Robert McCammon
Édition :Bragelonne
Édition :Bragelonne
***
Ce premier tome de la série en deux parties intitulée « Le chant de l’oiseau de nuit » ayant été publié dans la collection « L’Ombre » de Bragelonne, je m’attendais à une histoire plus sombre, plus effrayante.
De plus, Robert McCammon étant référencé comme l’un des auteurs majeurs dans les domaines du thriller, de l’épouvante et du mystère, ces ingrédients m’ont cruellement manqué.
Au final, il ne se passe pas grand-chose dans ce premier tome. L’auteur place surtout les bases de son récit.
Robert McCammon nous décrit l’atmosphère sombre, lourde et morose de Fount Royal, petite bourgade de Nouvelle Angleterre, entourée de marais et où la pluie et un climat humide semblent avoir élu domicile. Pour couronner le tout, la ville est la proie de phénomènes étranges dont chaque habitant s’accordent à dire qu’ils sont l’œuvre de Rachel Howarth, veuve dont le mari a trouvé la mort dans d’atroces circonstances. Le procès de Salem étant encore frais dans les mémoires, il n’en faut pas plus pour que la jeune femme soit accusée de sorcellerie.
Mais justement, dans ce premier tome, on en apprendra bien peu concernant Rachel, même si le voile de mystère l’entourant se déchire peu à peu dans les derniers chapitres.
Dans cet univers où l’ensemble des citoyens de Fount Royal, stéréotypes des villageois étroit d’esprits et fervents croyants, ainsi que le juge Woodward, personnage sans surprise et fade si ce n’est le passé dont il revit de douloureux passages dans son sommeil mais au sujet desquels il refuse de se confier, semblent persuadés de la culpabilité de Rachel. Seul Mattheuw, le clerc du juge, ne semble pas partager cette certitude et apporte un soupçon de curiosité et d’originalité au récit autant par son sens critique que par son humour.
Il est d’ailleurs l’une des principales raisons pour laquelle je lirai tout de même le second tome intitulé « Le Visage du mal ». En effet, parviendra-t-il à changer l’opinion public et à éviter le bûcher à Rachel ? En apprendrons-nous davantage sur cette dernière et les questions restées sans réponse dans ce premier tome seront-elles résolues ? En tout cas, je l’espère.
De plus, Robert McCammon étant référencé comme l’un des auteurs majeurs dans les domaines du thriller, de l’épouvante et du mystère, ces ingrédients m’ont cruellement manqué.
Au final, il ne se passe pas grand-chose dans ce premier tome. L’auteur place surtout les bases de son récit.
Robert McCammon nous décrit l’atmosphère sombre, lourde et morose de Fount Royal, petite bourgade de Nouvelle Angleterre, entourée de marais et où la pluie et un climat humide semblent avoir élu domicile. Pour couronner le tout, la ville est la proie de phénomènes étranges dont chaque habitant s’accordent à dire qu’ils sont l’œuvre de Rachel Howarth, veuve dont le mari a trouvé la mort dans d’atroces circonstances. Le procès de Salem étant encore frais dans les mémoires, il n’en faut pas plus pour que la jeune femme soit accusée de sorcellerie.
Mais justement, dans ce premier tome, on en apprendra bien peu concernant Rachel, même si le voile de mystère l’entourant se déchire peu à peu dans les derniers chapitres.
Dans cet univers où l’ensemble des citoyens de Fount Royal, stéréotypes des villageois étroit d’esprits et fervents croyants, ainsi que le juge Woodward, personnage sans surprise et fade si ce n’est le passé dont il revit de douloureux passages dans son sommeil mais au sujet desquels il refuse de se confier, semblent persuadés de la culpabilité de Rachel. Seul Mattheuw, le clerc du juge, ne semble pas partager cette certitude et apporte un soupçon de curiosité et d’originalité au récit autant par son sens critique que par son humour.
Il est d’ailleurs l’une des principales raisons pour laquelle je lirai tout de même le second tome intitulé « Le Visage du mal ». En effet, parviendra-t-il à changer l’opinion public et à éviter le bûcher à Rachel ? En apprendrons-nous davantage sur cette dernière et les questions restées sans réponse dans ce premier tome seront-elles résolues ? En tout cas, je l’espère.
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